Les symptômes insoupçonnés de la COVID longue

Les symptômes insoupçonnés de la COVID longue

Des semaines, des mois, voire des années après avoir contracté la COVID-19, certains survivants continuent de souffrir de symptômes persistants et invalidants. Fatigue chronique, essoufflement, troubles cognitifs… Ce mal insidieux, communément appelé « COVID longue », reste un mystère largement incompris par la communauté scientifique. Pourtant, selon les estimations, des dizaines de millions de personnes à travers le monde seraient concernées par ce phénomène. Face à l’ampleur de la situation, une course contre la montre est engagée pour percer les secrets de cette énigme sanitaire du XXIe siècle.

La COVID longue, un mystère persistant

Derrière ce terme de « COVID longue » se cache en réalité un véritable syndrome protéiforme aux multiples visages. Outre une fatigue tenace et des difficultés respiratoires, les personnes atteintes rapportent un large éventail de symptômes parmi lesquels figurent des troubles neurologiques, des douleurs musculaires persistantes ou encore des séquelles psychologiques. Selon certains experts, jusqu’à 65 millions de personnes dans le monde seraient actuellement aux prises avec ces séquelles à rebours, un chiffre colossal rappelant l’urgence de la situation. D’autant que les victimes, souvent jeunes et autrefois en pleine santé, se retrouvent soudainement plongées dans un enfer au quotidien, entre arrêts de travail prolongés et décrochages sociaux. Face à l’ampleur de cette crise sanitaire aux ramifications économiques et sociétales majeures, la course pour élucider les ressorts de la COVID longue est plus que jamais engagée. Seule une meilleure compréhension des mécanismes à l’œuvre permettra de proposer des pistes de soins adaptées à ces millions de patients en détresse.

Une nouvelle étude fait le lien avec la carence en fer

Une lueur d’espoir pour percer le mystère de la COVID longue ? C’est en tout cas ce que laisse augurer une récente étude publiée dans la revue Nature Immunology. Menée par une équipe internationale, cette étude de grande envergure a suivi pas moins de 214 patients positifs au SARS-CoV-2 pendant un an, analysant régulièrement leurs symptômes et leurs analyses sanguines. Le constat est pour le moins saisissant : près de la moitié des participants ont développé des symptômes de COVID longue. Or, chez ces derniers, les chercheurs ont noté une nette diminution des réserves en fer dès les deux premières semaines suivant l’infection initiale. Un lien d’autant plus marqué que la forme contractée était sévère, nécessitant une oxygénothérapie ou même une assistance respiratoire. Outre cette chute des taux de fer, l’équipe scientifique a également relevé une augmentation concomitante des niveaux de ferritine, protéine de stockage du fer. Un dérèglement qui, en s’inscrivant dans la durée, pourrait favoriser l’inflammation à long terme et, par ricochet, l’émergence ou la persistance de symptômes handicapants.

Le rôle crucial du fer et les pistes de traitement

Ce lien établi entre COVID longue et carence en fer n’a, en définitive, rien de bien surprenant. Le fer, oligo-élément indispensable à de multiples processus vitaux, est un rouage essentiel au bon fonctionnement de l’organisme. Son importance est telle qu’un déficit, même modéré, peut rapidement altérer les capacités physiques et cognitives. Fatigue, essoufflements, troubles de la concentration… Autant de symptômes fréquemment rapportés dans la COVID longue qui pourraient ainsi trouver une partie de leur explication dans cette dérégulation du métabolisme du fer. Une piste de recherche d’autant plus prometteuse que pallier ce déficit par une supplémentation ciblée permettrait peut-être de soulager, voire de juguler certains de ces troubles résiduels. Reste que, si cette découverte apporte un éclairage nouveau, elle n’explique pas à elle seule les multiples facettes de cette affection protéiforme. D’autres mécanismes, comme une réponse immunitaire anarchique ou des lésions neuronales, pourraient bien être en cause.

La carence en fer, un maillon essentiel pour briser la chaîne de la COVID longue

En établissant un lien entre carences en fer et COVID longue, cette étude marque une avancée majeure. Non seulement elle offre une première piste de compréhension des mécanismes en jeu, mais elle pourrait aussi ouvrir la voie à de nouvelles stratégies thérapeutiques ciblées.

Si ces découvertes sont loin d’être la panacée face à un mal aussi complexe et multifactoriel, elles n’en demeurent pas moins une pierre de plus à l’édifice. Une motivation supplémentaire pour que la recherche poursuit inlassablement son œuvre, afin de venir définitivement à bout de ce fléau sanitaire d’un nouveau genre.

Ultrahuman : L’ascension vers la domination du marché

Ultrahuman : L’ascension vers la domination du marché

L’entreprise indienne Ultrahuman, spécialisée dans les technologies de bien-être, s’apprête à faire un bond significatif dans son expansion. Avec l’annonce récente de la clôture d’un financement de série B de 35 millions de dollars, comprenant à la fois des capitaux propres et de la dette, Ultrahuman est sur le point de consolider sa position sur le marché mondial. Dirigée par le fondateur Mohit Kumar, l’entreprise vise à dépasser son rival américain, Oura, et à devenir le leader incontesté du secteur.

Croissance et ambition

Ultrahuman est en pleine ascension, avec des projections ambitieuses pour les mois à venir. Ayant déjà atteint la rentabilité au niveau de l’entreprise, l’entreprise investit dans ses propres installations de fabrication pour soutenir une croissance à long terme. Avec l’ajout récent d’une nouvelle « UltraFactory », capable de générer jusqu’à 200 millions de dollars de revenus annuels, Ultrahuman est sur la voie de dépasser les 100 millions de dollars de revenus annuels d’ici la fin de 2024. Cette croissance explosive est soutenue par des partenariats stratégiques avec des détaillants physiques de renom et une approche sans abonnement pour ses produits, offrant une expérience transparente aux consommateurs.

Innovation et expansion géographique

La stratégie d’Ultrahuman ne se limite pas à la consolidation de sa position sur les marchés existants. En lançant une série de produits innovants tels que le Ring Air et un tracker de santé domestique, Ultrahuman élargit son empreinte dans l’écosystème du bien-être. De plus, son expansion géographique agressive dans plus de 100 marchés mondiaux, dont certains sont encore inexploités, témoigne de son engagement à devenir un leader mondial. En mettant l’accent sur la rapidité de déploiement et la domination des marchés naissants, Ultrahuman se positionne comme un pionnier dans le secteur des technologies de bien-être.

Ultrahuman incarne l’union entre l’innovation technologique et le bien-être humain. Avec une vision audacieuse pour l’avenir, l’entreprise se positionne comme un acteur majeur dans le paysage mondial du bien-être. Alors qu’elle poursuit sa trajectoire de croissance rapide, Ultrahuman s’efforce de façonner l’avenir de la santé et du bien-être à l’échelle mondiale.

Les pays les plus heureux du monde en 2024

Les pays les plus heureux du monde en 2024

Le Rapport sur le bonheur dans le monde a été publié et une fois de plus la Finlande maintient sa première place. Cette édition présente des classements par âge, révélant des défis croissants pour le bien-être des jeunes. En Amérique du Nord, le bonheur des jeunes a considérablement diminué, affectant le classement global des États-Unis. Cependant, d’autres régions, notamment en Europe de l’Est, ont enregistré des progrès encourageants dans le bonheur.

Les pays les plus heureux

Le rapport annuel marqué par la journée internationale du bonheur des Nations Unies, le 20 mars, s’appuie sur les données d’une enquête mondiale menée auprès de personnes dans plus de 140 pays sur la base de leurs évaluations moyennes de la vie au cours des trois années précédentes, c’est-à-dire de 2021 à 2023 . Le rapport examine six variables clés pour expliquer les évaluations de la vie : le PIB par habitant, le soutien social, l’espérance de vie en bonne santé, la liberté, la générosité et les perceptions de corruption.

La Finlande maintient à nouveau sa place de pays le plus heureux du monde, en matière de conditions sociales propices au bonheur. Ses voisins nordiques ont également obtenu des scores élevés, avec le Danemark (n°2), l’Islande (n°3) et la Suède (n°4) dans le top cinq, et la Norvège (n°7) se classant confortablement dans le top 10. Dans le reste du monde, les Pays-Bas (n°6), le Luxembourg (n°8), la Suisse (n°9) et l’Australie (n°10) complètent le top 10.

Compte tenu de la guerre contre le Hamas, Israël pourrait surprendre en se plaçant au cinquième rang, même si le pays figure dans le top 10 depuis 2022. Les auteurs du rapport soulignent que son classement est basé sur une moyenne sur trois ans, ce qui atténue souvent l’effet des « événements cataclysmiques survenant au cours d’une année particulière ». L’enquête en Israël a été menée après l’attaque du Hamas du 7 octobre, mais avant une grande partie de la guerre qui a suivi. Ainsi, même si les évaluations de la vie ont fortement chuté, ces scores ne représentaient qu’un tiers de la moyenne. Le rapport inclut également un classement de la Palestine au 103e rang, bien que son statut d’État ne soit pas largement reconnu. Le sondage a été réalisé dans les territoires palestiniens de Gaza et de Cisjordanie avant les événements du 7 octobre.

Le bonheur dans le reste du monde

Les États-Unis (n°23) et l’Allemagne (n°24) ont quitté le top 20 en partie à cause d’une hausse du bonheur parmi d’autres pays, notamment la Tchéquie (n°18), la Lituanie (n°19) et la Slovénie ( n°21). Le Royaume-Uni était au 20e rang.

Alors que la Lituanie se classait cette année au 19e rang sur la liste globale, parmi les répondants de moins de 30 ans, elle était le pays le plus heureux en 2024. Pour les plus de 60 ans, la Lituanie se classait au 44e rang.

Aux États-Unis et au Canada, les scores de bonheur des personnes de moins de 30 ans étaient considérablement inférieurs à ceux des personnes de 60 ans et plus. Chez les moins de 30 ans, les États-Unis se classent au 62e rang, tandis que chez les 60 ans et plus, ils occupent le 10e rang. Le Canada se classe au 58e rang chez les jeunes et au 8e rang chez les 60 ans et plus.

L’Australie et la Nouvelle-Zélande, ont également enregistré des classements bien inférieurs. Helliwell a déclaré que les faibles scores des jeunes dans ces pays ne sont pas dus à un niveau d’éducation inférieur, à un revenu inférieur ou à une santé plus mauvaise. « C’est ce qu’ils pensent de leur vie. C’est donc une question d’humeur », a-t-il déclaré. 

« Dans l’ensemble, à l’échelle mondiale, les jeunes âgés de 15 à 24 ans ont connu une amélioration de leur satisfaction dans la vie entre 2006 et 2019, et une satisfaction dans la vie stable depuis lors », indique le rapport. « Mais la situation varie selon les régions. Le bien-être des jeunes a chuté en Amérique du Nord, en Europe occidentale, au Moyen-Orient, en Afrique du Nord et en Asie du Sud. Dans le reste du monde, il a augmenté.

Autre point positif à retenir concernant les jeunes : le pic de bienveillance au cours de la pandémie parmi toutes les générations a été particulièrement prononcé chez les jeunes, a déclaré Helliwell, et cette bienveillance a perduré. « C’est donc encourageant. Même si dans certains pays ils ne sont pas très heureux, ils sont toujours capables et désireux de s’engager dans des actes de bienveillance envers les autres. Et cela vous donne de l’espoir pour l’avenir.

Les 20 pays les plus heureux du monde en 2024

1. Finlande

2. Danemark

3. Islande

4. Suède

5. Israël

6. Pays-Bas

7. Norvège

8.Luxembourg

9. Suisse

10. Australie

11. Nouvelle-Zélande

12. Costa Rica

13. Koweït

14. Autriche

15. Canada

16. Belgique

17. Irlande

18. Tchéquie

19. Lituanie

20. Royaume-Uni

Au bas de la liste

L’Afghanistan reste le pays le moins bien classé au monde en matière de bonheur. Le Liban, le Lesotho, la Sierra Leone et le Congo se classent également en dernière position.

Mesurer l’âge de vos organes pour prévenir les maladies, c’est possible !

Mesurer l’âge de vos organes pour prévenir les maladies, c’est possible !

On a récemment découvert que notre corps est une véritable mosaïque où chaque organe vieillit à son propre rythme. II s’agit d’une information surprenante qui bouleverse notre vision sur le vieillissement. Jusque-là, considéré comme un processus monolithique, on réalise désormais que nos diverses composantes biologiques se dégradent de manière asynchrone. Le cœur, le cerveau, les poumons… tous semblent suivre leur propre trajectoire dans la course contre le temps. Mais comment appréhender cette hétérogénéité ? Comment déceler ces différences subtiles, souvent imperceptibles ?

Un test sanguin, miroir de notre vieillissement intérieur

Il s’agit d’une grande révolution apportée par une équipe de scientifiques de Stanford. Grâce à une simple prise de sang, il est désormais possible d’établir un véritable bilan de vieillissement pour 11 organes clés. Les spécialistes procèdent à des analyses fines de certaines protéines spécifiques à chaque organe, présentes dans notre sang. Leurs niveaux permettent d’estimer avec une précision redoutable l’âge biologique réel de nos composantes vitales.

Mais comment faire parler ces molécules silencieuses ? Pour ce faire, les chercheurs ont développé un algorithme d’intelligence artificielle capable d’identifier près de 900 protéines « signatures », révélatrices du vieillissement accéléré d’un organe particulier. Il s’agit d’une véritable percée qui transforme une simple goutte de sang en un miroir reflétant les effets du temps sur notre corps.

Cette technique nous ouvre une fenêtre jusqu’alors inexplorée sur les rouages de la sénescence. Elle promet de révolutionner notre approche du vieillissement en le rendant soudainement visible et quantifiable. Il s’agit d’une avancée majeure dans la compréhension de ce phénomène complexe, mais aussi dans la détection précoce des pathologies liées à l’âge.

Des organes qui vieillissent à des rythmes différents

Qui aurait cru que sous une apparente synchronie, nos organes menaient en réalité une course effrénée contre le temps, chacun à sa propre cadence ? L’étude menée par les chercheurs de Stanford a mis en lumière une réalité insoupçonnée. En effet on a pu remarquer que chez un adulte sur cinq âgé de 50 ans ou plus, au moins un organe vieillit nettement plus vite que la moyenne. Il s’agit d’un constat pour le moins déconcertant quand on sait que cette accélération prématurée est intimement liée à un risque accru de développer des pathologies spécifiques dans les 15 années à venir.

La grande force de cette découverte réside dans sa capacité à quantifier ces différences de vieillissement. Les scientifiques ont pu établir que le fait d’avoir un organe vieillissant de manière accélérée augmente de 15 à 50 % le risque de mortalité toutes causes confondues sur 15 ans, selon l’organe concerné. Un cœur « âgé » multiplie ainsi par 2,5 les risques d’insuffisance cardiaque, tandis qu’un cerveau vieillissant trop vite peut compromettre les facultés cognitives. On est donc en présence d’une prise de conscience cruciale qui pousse à reconsidérer notre approche sur le vieillissement et sur la santé en général.

Une médecine de précision anti-âge

Au-delà de ses implications thérapeutiques évidentes, cette découverte insuffle un vent de changement dans la pratique médicale elle-même. En permettant d’appréhender le vieillissement dans sa complexité et sa singularité, elle ouvre grandes les portes d’une médecine véritablement personnalisée.

Fini le temps des approches universelles où l’on considérait chaque individu comme un âge biologique monolithique. Désormais, le vieillissement pourra être abordé avec une finesse d’analyse inégalée, en tenant compte des spécificités de chaque organe et de sa propre dégradation. Il constitue une révolution en matière de précision qui promet de redéfinir les standards de soins préventifs et de suivi médical.

En identifiant les protéines clés impliquées dans le vieillissement accéléré, de nouvelles cibles thérapeutiques pourraient émerger. Il est ainsi possible de développer des traitements sur mesure, capables de stimuler les cellules des organes les plus à la traîne. Il s’agit d’une approche véritablement personnalisée qui, au lieu de traiter le vieillissement comme un phénomène global, s’attaque à ses ramifications les plus intimes.

Une chose est sûre, cette percée scientifique a l’avantage de transformer radicalement notre compréhension et notre gestion du vieillissement. Ainsi, une nouvelle ère s’ouvre, où le temps n’aura plus la même emprise sur nos corps.

Garder une longueur d’avance sur le temps

Face à cette réalité du vieillissement différentiel, il devient impératif d’adopter une stratégie proactive. Cette technique révolutionnaire n’est pas seulement un outil de diagnostic, mais elle est aussi un véritable levier pour les actions préventives. En identifiant dès à présent les organes qui accusent un retard, il est dorénavant possible d’intervenir de manière ciblée avant même l’apparition des premiers symptômes.

Se doter d’un tel pouvoir de projection n’a rien d’anodin. Désormais nous avons l’opportunité de nous réapproprier notre vieillissement, d’en reprendre les rênes plutôt que de le subir passivement. Il s’agit d’une avancée décisive dans la lutte contre les affections liées à l’âge, qu’elles soient cardiovasculaires, neurodégénératives ou autres.

Power 9 : les 9 règles d’or de la longévité

Power 9 : les 9 règles d’or de la longévité

La quête d’une vie longue et épanouie est un objectif partagé par de nombreuses personnes à travers le monde. Cependant, nos modes de vie contemporains, souvent caractérisés par le stress, la sédentarité et des habitudes alimentaires peu saines, peuvent compromettre cette aspiration. Heureusement, en observant les populations des « zones bleues », où la longévité est exceptionnelle, nous pouvons découvrir des enseignements précieux pour nourrir notre bien-être global et prolonger notre existence.

Les 9 Power de la longévité :

Mouvement

Intégrer l’activité physique dans la routine quotidienne pour favoriser la santé physique et mentale.

Existence

Identifier un but dans la vie pour stimuler le bien-être et prolonger l’existence.

Stress

Adopter des rituels anti-stress pour réduire l’inflammation chronique et améliorer le bien-être global.

Règle des 80

Arrêter de manger avant d’être totalement rassasié pour favoriser une alimentation équilibrée et prévenir les maladies.

Alimentation végétale

Privilégier les aliments d’origine végétale pour prévenir les maladies chroniques et gagner des années de vie en bonne santé.

Convivialité

Consommer du vin avec modération, dans un contexte social, peut contribuer à la longévité.

Communauté

Faire partie d’une communauté, qu’elle soit religieuse ou séculière, peut prolonger la vie et améliorer le bien-être.

Liens familiaux

Entretenir des liens forts avec la famille peut favoriser la santé physique et mentale à long terme.

Amitié

Maintenir des relations sociales solides en dehors du monde virtuel peut avoir un impact positif sur la santé mentale et émotionnelle.

En adoptant ces neuf principes de vie, inspirés des zones de longévité, nous pouvons améliorer notre qualité de vie et augmenter nos années d’existence en bonne santé. Il est temps de prendre conscience de l’importance de nos choix quotidiens sur notre longévité et de mettre en pratique ces enseignements pour un avenir plus radieux.

Découvrez l’article sur l’innovation qui permet de mesurer l’âge de vos organes pour prévenir les maladies.