Le chocolat noir, bien plus qu’un simple régal gourmand

Le chocolat noir, bien plus qu’un simple régal gourmand

Le chocolat noir est un délice, dont raffolent de nombreux gourmands. Mais derrière son parfum envoûtant et sa texture fondante se cachent également des vertus insoupçonnées pour la santé. En effet, diverses études scientifiques ont déjà mis en évidence les puissants effets antioxydants du cacao. Et une nouvelle recherche vient encore renforcer les vertus du chocolat noir sur la santé.

Un rempart naturel contre l’hypertension

D’après une récente publication dans la revue Nature Scientific Reports, la consommation régulière de chocolat noir permettrait de réduire significativement les risques de développer une hypertension artérielle.
Grâce à une analyse génétique poussée, les scientifiques ont pu démontrer un lien de causalité direct entre l’apport en chocolat noir et la baisse de la tension sanguine. Un effet protecteur qui viendrait s’ajouter à d’autres vertus potentielles, comme la réduction de la formation de caillots dans le sang. Même si des travaux supplémentaires seront nécessaires pour confirmer pleinement cet autre impact.

Un bouclier antioxydant au pouvoir stupéfiant
Le chocolat noir est une source d’antioxydants aux pouvoirs stupéfiants ! Ces précieux alliés luttent au quotidien contre les radicaux libres, ces molécules qui accélèrent le vieillissement cellulaire. Parmi les bienfaits de la consommation du chocolat noir, on peut, entre autres, citer l’obtention d’une peau plus lumineuse, de défenses immunitaires boostées, et un effet protecteur global sur l’organisme.
Le chocolat noir possèderait aussi des vertus anti-inflammatoires non négligeables. Plusieurs études ont également démontré les effets « coupe-faim » du chocolat noir. De quoi mieux stabiliser la glycémie des diabétiques, en limitant les fringales post-repas.

Quelques tips gourmands pour en profiter
Vous l’aurez compris : avec le chocolat noir, impossible de ne pas craquer ! Alors autant bien choisir son produit pour maximiser les bienfaits. Optez pour une tablette contenant au minimum 50 à 70% de cacao constitue un gage d’une plus forte concentration en antioxydants et minéraux essentiels.

Pour varier les plaisirs, n’hésitez pas à mixer les textures : tablette classique à croquer tel un casse-croûte, pépites fondantes saupoudrées sur une compote ou un yaourt… Ou même à incorporer en poudre dans un smoothie pour un petit goût choco addictif !

Craquez pour le chocolat noir sans culpabiliser !

Au terme de ce tour d’horizon, impossible de ne pas succomber aux charmes du chocolat noir ! Ses innombrables micronutriments protègent notre santé tout en régalant nos papilles. Et cerise sur le gâteau, consommer quotidiennement quelques carrés permet même de prévenir efficacement l’hypertension artérielle.
Alors pourquoi s’en priver quand on peut allier plaisir et bienfaits ? L’important reste de savoir choisir ses produits : préférez un chocolat composé d’au moins 50% de cacao, gage d’une concentration élevée en antioxydants et minéraux essentiels. N’hésitez pas à varier les textures : tablettes croquantes, pépites fondantes ou même poudre cacaotée dans vos smoothies.

Les 3 secrets de la longévité des super seniors

Les 3 secrets de la longévité des super seniors

Selon l’ONU, le nombre de centenaires dans le monde devrait être multiplié par 8 d’ici 2050. Et la moitié des enfants de 5 ans actuels peuvent s’attendre à souffler 100 bougies ! Nous entrons dans l’ère des super seniors. Cependant, vivre plus longtemps ne signifie pas forcément vieillir en meilleure santé. Alors, comment rester mobile et autonome jusque dans nos 80, 90 voire 100 ans ? William J. Kole, rédacteur en chef et auteur de « The Big 100 : The New World of Super-Aging » est parti à la recherche de ces réponses.
Dans son dernier podcast pour MindBodyGreen, il nous fait part des leçons glanées auprès des centenaires les plus âgés de la planète. Les conseils donnés se révèlent bien plus simples qu’on aurait pu l’imaginer…

Une attitude positive

Lors d’un reportage à Paris, William Kole a rencontré Jeanne Calment, officiellement la personne ayant vécu le plus longtemps dans l’histoire de l’humanité (122 ans). Ce qui l’a le plus marqué chez elle c’est son incroyable joie de vivre, même à 121 ans ! C’était une femme qui aimait plaisanter à 121 ans. Elle disait avoir arrêté de se maquiller, car elle riait tellement qu’elle finissait par tout effacer. Une récente étude vient appuyer le constat de Kole : les seniors affichant une attitude positive face au vieillissement vivraient en moyenne 7 ans et demi de plus que ceux abordant le sujet avec anxiété.

Un but dans la vie

D’après Kole, les personnes animées par un but profond, une motivation ou une raison de se lever chaque matin seraient plus susceptibles de vivre longtemps. La recherche démontre d’ailleurs un lien entre sentiment d’accomplissement personnel et meilleure santé globale. Jeanne Calment a incarné ce principe jusqu’au bout en prenant des cours d’escrime à 85 ans ou en enregistrant un album de rap à 120 ans ! Quant à la primatologue Jane Goodall, 89 ans, elle n’a jamais été aussi active dans ses engagements.
« Avoir une raison de se lever le matin, un moteur, insuffle véritablement vigueur physique et mentale », conclut Kole.

La foi

« La foi, qu’elle soit chrétienne, juive, bouddhiste ou musulmane, semble ajouter des années à l’existence », avance Kole. Des études suggèrent en effet que les croyants vivraient jusqu’à 5 ans et demi de plus que les non-croyants. L’explication résiderait dans le fait que les lieux de culte encourageraient le sentiment
d’appartenance et le soutien communautaire. Ils seraient alors des facteurs clés pour la longévité des super-seniors. Kole décrit d’ailleurs Jane Goodall comme une femme de foi, conciliant croyance en Dieu et
quête scientifique du fonctionnement de l’univers. Au-delà des religions instituées, la méditation ou la pleine conscience procurent également ce lâcher-prise salutaire pour l’esprit.

 

En définitive, les ingrédients d’une longue vie se nichent moins dans les régimes complexes et les gadgets de pointe que dans de simples changements d’attitude à la portée de tous. Comme le rappelle Kole, « notre destin n’est pas entièrement écrit d’avance » et de nombreux petits gestes peuvent grandement l’infléchir.

 

Retrouvez l’article sur Les 3 vérités sur les compléments de collagène.

 

3 vérités sur les compléments de collagène

3 vérités sur les compléments de collagène

 Le collagène, protéine structurale essentielle à l’élasticité de notre peau, voit sa production naturelle décliner avec les années. Comme résultat vous allez constater l’apparition des rides et le relâchement cutané qui s’installent insidieusement.

Heureusement, certains experts ont fait de la lutte contre ces marques disgracieuses leur combat pour le plus grand bien-être de notre peau. Le Dr Anthony Youn fait partie de ceux-là.

Ce chirurgien et praticien holistique aux approches avant-gardistes considère le rajeunissement comme un processus global conjuguant solutions esthétiques, bien-être intérieur et nutrition adéquate.

Adepte du « moins j’opère, mieux je me porte », le Dr Youn privilégie les alternatives non invasives et naturelles autant que faire se peut. Les compléments alimentaires à base de collagène figurent ainsi en bonne place dans sa panoplie anti-âge.

Mais à cause des divers concepts comme les origines animales ou marines, les formulations avec ou sans additifs, et différents dosages, s’y retrouver au rayon pharmaceutique relève d’un vrai casse-tête.

Le Dr Youn a confié ses conseils avisés au grand leader de l’actu bien-être outre-atlantique mindbodygreen pour parer celles et ceux à la recherche de solutions naturelles contre les marques du temps. 

La nécessité d’une nutrition adéquate et de suppléments

Le Dr Youn est convaincu du fabuleux pouvoir d’autorégénération de notre organisme. À condition, toutefois, de lui fournir les nutriments adéquats.

Une alimentation équilibrée suffit bien souvent à stimuler la production de collagène et le renouvellement cellulaire. Mais à certaines périodes stratégiques (grossesse, ménopause, convalescence…), ou lorsque le mode de vie présente des soucis : stress, excès alimentaires…, il est conseillé de recourir à quelques suppléments dédiés.

Le Dr Youn n’hésite d’ailleurs pas à en recommander à ses patient(e)s, en complément d’une bonne hygiène de vie. Car selon lui, le corps recèle de trésors insoupçonnés, qu’il faut simplement éveiller par une approche globale alliant bien-être intérieur et solutions naturelles.

  Les bienfaits des poudres de collagène

Le collagène est la protéine star de notre derme. Il constitue jusqu’à 70 % de sa structure et lui confère fermeté, souplesse et élasticité.

Malheureusement, après 25 ans, notre organisme se met à en produire de moins en moins.
Ainsi, rides et relâchement cutané ne tardent pas à apparaître.

C’est là que les poudres de collagène ultra-tendance sont indispensables. Faciles à intégrer à une boisson ou un yaourt, ces suppléments comblent nos carences et contribuent à préserver un teint frais et lumineux.

Le Dr Youn les recommande ainsi à ses patientes soucieuses de garder une peau tonique et rebondie, même après 40 ou 50 ans. À condition toutefois de savoir décrypter les étiquettes, nous prévient-il. Car il faut trouver le produit qui nous convient parmi les divers types de collagène et des additifs plus ou moins pertinents avec des dosages parfois obscurs.

Les points essentiels à connaître sur les compléments de collagène

Avant de jeter son dévolu sur le premier supplément venu, mieux vaut se familiariser avec quelques bases, nous recommande le Dr Youn.

Choisissez des peptides de collagène hydrolysés

Contrairement au collagène natif, trop volumineux pour être assimilé tel quel, les peptides de collagène ont été préalablement « prédigérés » par hydrolyse. Cette technique de fragmentation en fait des nutriments immédiatement assimilables par l’organisme. Inutile donc de s’embarrasser de gélules au collagène !

Faites attention au type de collagène

On en distingue essentiellement 5 variantes. Les types I, II et III sont les plus courants dans notre alimentation et nos compléments. Le premier contribue à la fermeté de notre peau, de nos os et de nos muscles. Le deuxième préserve la santé de nos articulations. Quant au troisième, il renforce nos tissus conjonctifs.
Inutile donc de prendre un supplément à base de collagène de type II pour nourrir sa peau…
Il faut vérifier si les peptides recourus sont bien de type I et/ou III, insiste le Dr Youn !

L’importance d’une consommation suffisante de protéines

Composé d’acides aminés, le collagène appartient à la famille des protéines. Il est donc impératif de maintenir un apport quotidien suffisant en ce précieux nutriment (environ 1 g/kg/jour), insiste le Dr Youn.
Bien souvent, une alimentation équilibrée aide déjà à couvrir nos besoins. Mais en cas de régime trop restrictif ou de mode de vie non adéquat, une cure de compléments de collagène risque bien de tourner court. Ce phénomène peut être causé par un déficit de nutriments pour nourrir nos cellules !

Au final, le Dr Youn ne saurait trop nous le répéter : la clé d’une peau souple et rebondie réside avant tout dans une hygiène de vie irréprochable. Il ne faut pas non plus négliger l’exercice physique modéré, le sommeil réparateur et l’alimentation équilibrée.

Mais pour donner un petit coup de pouce à notre organisme, les compléments de collagène bien choisis présentent un intérêt certain. Pour ce faire, il est recommandé de se méfier des produits aux formules obscures et d’éviter de systématiquement privilégier les peptides de
collagène hydrolysés de type I et III.
En cas de doute sur la composition la plus adaptée à vos besoins, n’hésitez pas à en discuter avec votre dermatologue.

 

Découvrez l’article original sur MindBodyGreen

 

Lisez notre article sur Le fruit qui développe la santé mentale.

Le fruit qui développe la santé mentale

Le fruit qui développe la santé mentale

Le kiwi s’est imposé comme un puissant stimulant de l’humeur, et de nouvelles recherches de l’Université d’Otago ont révélé à quelle vitesse ses effets peuvent se faire sentir. Dans une étude récemment publiée dans le British Journal of Nutrition, les chercheurs ont constaté que ce fruit duveteux améliorait la vitalité et l’humeur en aussi peu que quatre jours.

La professeure Tamlin Conner, co-auteure de l’étude et membre du département de psychologie, souligne que ces découvertes offrent une manière tangible et accessible pour les individus de soutenir leur bien-être mental.

« Les gens doivent savoir que de petits changements dans leur alimentation, comme l’ajout de kiwi, peuvent avoir un impact sur leur quotidien. »

L’apport en vitamine C a été lié à une amélioration de l’humeur, de la vitalité et du bien-être, ainsi qu’à une réduction de la dépression. À l’inverse, une carence en vitamine C est associée à une dépression accrue et à des troubles cognitifs. Cependant, le professeur Conner souligne le manque de recherches évaluant la rapidité des améliorations de l’humeur après l’introduction de suppléments de vitamine C ou de sources alimentaires entières.

 

Les chercheurs ont cherché à combler cette lacune en menant une intervention alimentaire de 8 semaines auprès de 155 adultes présentant une carence en vitamine C. Les participants ont pris quotidiennement soit un supplément de vitamine C, un placebo, ou deux kiwis, puis ont rapporté leur vitalité, leur humeur, leur épanouissement, la qualité et la quantité de sommeil, ainsi que leur activité physique via des enquêtes sur smartphone.

Les chercheurs ont constaté que la supplémentation en kiwis améliorait la vitalité et l’humeur en quatre jours seulement, atteignant un pic entre 14 et 16 jours, et favorisant l’épanouissement à partir du 14e jour. En revanche, la vitamine C n’a que légèrement amélioré l’humeur jusqu’au 12e jour.

Le Dr. Ben Fletcher, premier auteur de l’étude réalisée dans le cadre de son doctorat à Otago, souligne l’importance de comprendre les nuances des effets au jour le jour sur notre connaissance des avantages potentiels des aliments riches en vitamine C sur la santé mentale. Il met en avant les effets synergiques potentiels des aliments entiers comme le kiwi, tout en encourageant une approche holistique de la nutrition et du bien-être. En plus d’aider les individus à améliorer leur bien-être mental, l’étude introduit une méthodologie novatrice en recherche nutritionnelle grâce à l’utilisation d’enquêtes intensives sur smartphone pour une compréhension en temps réel des changements d’humeur.

 

Les résultats de cette étude mettent en lumière l’importance des choix alimentaires pour le bien-être mental. Ils soulignent également les avantages rapides que peuvent apporter des aliments riches en vitamine C, comme le kiwi, à notre humeur et à notre vitalité. Cette recherche ouvre la voie à une approche plus holistique de la nutrition et du bien-être, encourageant l’incorporation de divers aliments riches en nutriments dans notre alimentation quotidienne.

 Découvrez l’article sur Le « Slow », la nouvelle tendance fitness.

Source : Smartphone survey data reveal the timecourse of changes in mood outcomes following vitamin C or kiwifruit intervention in adults with low vitamin C | British Journal of Nutrition | Cambridge Core

 

La tendance « Slow » s’attaque au monde du fitness

La tendance « Slow » s’attaque au monde du fitness

La tendance « Slow » s’installe progressivement dans le monde du fitness, mettant l’accent sur une approche plus réfléchie de la récupération. Alors que les séances d’entraînement intensives ont longtemps dominé, de plus en plus de personnes reconnaissent désormais les bienfaits de ralentir et de permettre à leur corps de récupérer adéquatement.

La récupération est devenue une tendance indéniable dans le monde du fitness. Il est grand temps que l’industrie du fitness abandonne les entraînements intensifs et embrasse les bienfaits de ralentir. Cependant, au lieu de se concentrer sur des méthodes éprouvées telles que le sommeil, la nutrition et les mouvements doux, la récupération est devenue une routine en soi. Nous ne pouvons pas simplement nous reposer ; nous devons faire quelque chose – du foam rolling, des massages ou du sauna – pour sentir que nous contribuons à nos objectifs de santé.

Avec plus d’outils que jamais à notre disposition et la constante inondation de vidéos de plongée dans l’eau froide des influenceurs fitness, la récupération est devenue un peu hors de contrôle. Les athlètes peuvent en effet pousser la récupération trop loin, ce qui peut avoir un impact sur leur entraînement actuel. En fait, si vous forcez trop sur votre récupération, vous pourriez augmenter votre temps de guérison ou causer plus de dommages musculaires. Par exemple, les bains de glace peuvent soulager les douleurs musculaires, mais passer trop de temps dans le bain de glace peut compromettre les bienfaits escomptés et même entraîner une hypothermie. Il est donc crucial de pratiquer la récupération de manière équilibrée et informée pour en tirer pleinement les avantages.

Certaines méthodes, comme le scraping et le cupping, ont des centaines d’années d’histoire et de recherches substantielles qui attestent de leurs bienfaits thérapeutiques. Cependant, au lieu d’être utilisés par des professionnels formés, ces outils sont entre les mains du grand public, et il est juste de dire que tout le monde ne sait pas comment les utiliser correctement. Il est donc essentiel de lire les instructions d’utilisation et, si nécessaire, de consulter un professionnel comme un entraîneur sportif, un physiothérapeute ou un médecin du sport pour discuter des meilleures techniques de soutien à votre entraînement personnel et à votre récupération. Même sans tous ces gadgets sophistiqués, vous avez tout ce dont vous avez besoin pour une récupération adéquate à portée de main. Le sommeil, la nutrition et le mouvement quotidien devraient couvrir au moins 95% de vos besoins en récupération. Ensuite, vous pouvez compléter avec ces outils, au lieu de les utiliser en substitution.

En fin de compte, la tendance « Slow » dans le fitness nous rappelle l’importance de trouver un équilibre dans nos routines d’entraînement et de récupération. Plutôt que de se laisser emporter par les dernières technologies et techniques, il est crucial de revenir à des pratiques fondamentales telles que le sommeil, la nutrition et le mouvement quotidien pour une récupération optimale. En adoptant une approche plus équilibrée, nous pouvons garantir des progrès durables dans notre bien-être physique et mental.