Nouvelle découverte sur les maladies auto-immunes

Nouvelle découverte sur les maladies auto-immunes

L’approche du médecin Sara Gottfried issue de Harvard et du MIT, éclaire sous un jour nouveau la compréhension des maladies auto-immunes. Elle met en avant un élément souvent omis : le trauma. Au delà des prédispositions génétiques et des troubles physiologiques comme la perméabilité intestinale accrue, Gottfried pointe du doigt l’importance des expériences traumatisantes, en particulier celles vécues durant l’enfance, dans le développement ultérieur de maladies chroniques. Son raisonnement s’appuie sur des recherches solides, entre les traumas de la petite enfance et une susceptibilité accrue aux maladies chroniques à l’âge adulte, allant des troubles mentaux aux pathologies physiques telles que le diabète ou les maladies cardiovasculaires.

L’impact insoupçonné du trauma

Loin de se limiter à des origines purement physiques ou génétiques, la Dr. Sara Gottfried insiste sur le poids colossal des traumas, surtout ceux enfouis dans les replis de notre enfance, dans le développement de pathologies auto-immunes. Elle établit un lien indiscutable entre ces épisodes traumatiques précoces et une propension accrue à souffrir de maladies chroniques à l’âge adulte.
Cette corrélation transcende les frontières entre santé mentale et physique, révélant comment des événements apparemment lointains peuvent infliger des séquelles tangibles, telles que le diabète ou les maladies cardiovasculaires. La pratique de Gottfried est émaillée d’exemples vivants, témoignant de l’impact du stress toxique ou du trauma sur l’apparition de symptômes auto-immuns. Elle nous partage l’histoire d’une patiente confrontée à la trahison, préambule d’un diagnostic de polyarthrite rhumatoïde, soulignant ainsi comment les blessures émotionnelles peuvent se somatiser. Ces observations plaident pour une vision holistique de la santé, où le soin de l’esprit et du corps se conjugue pour ouvrir la voie à une guérison authentique et profonde.

Observer les signaux du corps

Aborder notre santé sous tous ses angles implique parfois de se tourner vers notre passé, notamment nos expériences d’enfance. C’est un point que Sara Gottfried ne manque pas de souligner. Selon elle, comprendre et évaluer nos traumas peut jouer un rôle prépondérant dans la prévention des maladies auto-immunes. L’outil qu’elle recommande pour cette introspection est le score ACE, pour Adverse Childhood Experiences. Simple d’utilisation, ce questionnaire nous confronte à nos souvenirs, nous aidant à identifier des épisodes traumatisants qui, bien que révolus, continuent d’influencer notre santé physique. Un score ACE qui dépasse le seuil de 1 est déjà un signal d’alerte, nous informant d’un risque accru de maladies chroniques. Cette évaluation, bien qu’elle puisse sembler délicate, est cruciale pour entamer un chemin vers la guérison. Elle invite à une prise en charge holistique, où soigner l’esprit devient aussi important que soigner le corps. En se penchant sur ces aspects, on ouvre la porte à des stratégies de soins plus complètes, promettant un bien-être plus authentique et durable.

Vers une approche globale de la santé

Embrasser une vision holistique de la santé, c’est un peu comme assembler un puzzle complexe où chaque pièce a son importance. Dans la lutte contre les maladies auto-immunes, il ne s’agit pas seulement de ce que l’on mange, mais aussi de comment on vit, comment on gère le stress et comment on traite nos émotions. La véritable santé, nous dit Gottfried, ne se limite pas à l’absence de symptômes ou de maladies. Elle englobe bien-être physique, tranquillité d’esprit et équilibre émotionnel. Adopter cette approche intégrative ne signifie pas pour autant délaisser les traitements classiques. Bien au contraire, c’est une invitation à les enrichir, à ajouter des couches de soins qui prennent en compte la totalité de notre être.

Redéfinir la guérison

Reconsidérer ce que signifie guérir, c’est ouvrir les yeux sur une vérité souvent omise. Il faut savoir que nos émotions jouent un rôle capital dans notre santé. Face aux maladies auto-immunes, il ne s’agit pas seulement de traiter un corps en désarroi, mais d’embrasser l’être dans sa totalité. Cette approche, loin d’être une nouveauté pour certains, reste pourtant un horizon à découvrir pour d’autres. Reconnaître la puissance de nos vécus émotionnels dans la genèse de ces maladies n’est pas un luxe, mais une nécessité. C’est le premier pas vers un rétablissement qui ne se limite pas à l’éradication des symptômes, mais qui aspire à un état de bien-être profond et pérenne. Voilà le défi : intégrer cette dimension émotionnelle au cœur de notre lutte contre les maladies auto-immunes.

Le nouveau luxe : augmenter la qualité de l’air que vous respirez

Le nouveau luxe : augmenter la qualité de l’air que vous respirez

La recherche de maisons de luxe va au-delà de l’esthétique pour se concentrer sur un élément souvent négligé : la qualité de l’air intérieur. Les acheteurs fortunés, conscients des défis environnementaux et sanitaires, investissent désormais dans des propriétés dotées de systèmes sophistiqués de filtration et de conception flexible pour garantir un environnement intérieur sain et agréable.

Le luxe de l’air pur

Des maisons avec des systèmes de filtration d’air sophistiqués deviennent des biens immobiliers de premier plan. Des exemples tels que la maison de John Bautista et Pedro Salrach à San Francisco illustrent cette tendance émergente, où des systèmes d’aération sophistiqués sont devenus des caractéristiques incontournables.

Des investissements intelligents

Les propriétaires fortunés comprennent l’importance d’investir dans des systèmes d’air intérieur de haute qualité. Des développements comme le bâtiment Dovecote à Manhattan ou une propriété à Santa Rosa offrent des exemples de cette tendance croissante à incorporer des technologies de purification de l’air dans les résidences haut de gamme.

La construction durable en tête

Les maisons passives et les normes de construction écologique deviennent des normes pour les acheteurs soucieux de l’environnement. Les développeurs comme Gregory Malin se concentrent sur des détails minutieux pour garantir une qualité d’air optimale, tout en réduisant l’empreinte carbone des nouvelles constructions.

Le mariage de la forme et de la fonction

Les propriétaires de maisons de luxe cherchent à concilier l’esthétique avec la fonctionnalité en intégrant des systèmes d’air purifié dans des designs élégants et modernes. Des maisons comme celle de Caroline Smythe à Charleston, dotées de matériaux naturels et d’éléments de filtration d’air discrets, illustrent cette approche équilibrée.

Alors que les défis environnementaux et sanitaires continuent de façonner notre mode de vie, la qualité de l’air intérieur émerge comme un élément essentiel de la propriété de luxe. Des systèmes de filtration sophistiqués, des normes de construction écologique et une conception intelligente redéfinissent ce que signifie posséder une maison de prestige. Les acheteurs fortunés optent désormais pour des résidences qui offrent non seulement un style de vie luxueux, mais aussi un air frais et pur pour une vie saine et épanouissante.

Superaliments, cette nourriture saine que l’on produit en France

Superaliments, cette nourriture saine que l’on produit en France

Quels sont les superaliments français à consommer pour une routine saine et responsable ?

On peut user de l’adjectif « super » quand on parle d’aliments 100 % naturels avec des apports nutritionnels très élevés. Quinoa, avocat ou baies de goji, sont des produits qui remplissent tous ces critères, mais malheureusement leur consommation est néfaste pour l’environnement. Leur production énergivore à l’autre bout du globe provoque de la déforestation, une augmentation des risques agro-alimentaires et une exportation massive à haute empreinte carbone. Si vous préférez consommer des trésors de la nature tout en préservant votre intégrité et celle de la planète, voici notre sélection de superaliments produits sur notre sol.

La spiruline

Cette microalgue riche en protéines cumule les bons points. Antioxydante et énergisante, elle permet aussi de renforcer le système immunitaire tout en étant une alliée de taille pour les personnes anémiques. Grâce à son important apport en fer naturel, elle va favoriser la fabrication d’hémoglobine, un aspect non-négligeable pour tous les végétariens, vegans ou encore flexitariens. Pour une spiruline de qualité, il est important de privilégier les fermes de production artisanale et locale. On en retrouve désormais aux quatre coins du pays, des Landes au Calvados en passant par le Var. Elle se consomme en gélules, en paillettes ou en poudre. Seul problème ? Son goût un peu particulier qui peut facilement être neutralisé par la présence de la pomme, un autre superaliment.

Graines de lin et de chanvre

On entend souvent parler des graines de chia quand on évoque la superfood, mais il en existe d’autres types, produits en France, qui possèdent aussi de nombreuses propriétés. La graine de lin est réputée pour son bon apport en minéraux et en oméga-3, ainsi que pour ses effets bénéfiques sur le transit intestinal. Celle de chanvre, elle, se démarque par sa plus haute teneur en protéines et son action anticholestérol. Les deux sont également riches en fibres et peuvent facilement s’incorporer à une salade composée, un porridge ou encore du pain maison très gourmand.

La noix

Grand classique de la saison automnale, c’est pourtant un aliment sec qui peut se conserver et se manger toute l’année. Et on aurait tort de se priver, car ce fruit à coque procure de multiples bienfaits. Elle est riche en protéines, en fibres, en magnésium, en calcium, ainsi qu’en vitamines E et B. Elle favorise donc le confort digestif, diminue le stress et peut limiter les risques de certaines maladies comme le diabète de type 2 ou les maladies

cardiovasculaires. 

Le chou kale

Popularisé grâce aux assiettes ultra saines des filles de la côte-ouest américaine, ce légume est aussi cultivé sur nos terres sous des noms plus terroirs, tels que chou plume ou chou à lapin. Mais cette variété ancienne n’est pas qu’un phénomène de mode, ces qualités nutritives sont bien réelles. Il est enrichi en calcium, bêtacarotènes, fer, ainsi qu’en vitamines C et K. Plutôt méconnue, cette dernière est pourtant essentielle pour la coagulation sanguine et la fixation du calcium sur les os. Comme beaucoup de légumes verts, il peut se déguster en salade, en jus, en smoothie ou même en soupe.

Les pommes

À la fois délicieuse et peu onéreuse, la pomme est un atout santé indéniable dont il faut se délecter tout au long de l’année. Produite dans chaque recoin rural du pays, elle se décline sous différentes variétés et saveurs. Il est donc difficile de s’en lasser et c’est tant mieux, puisqu’elle est riche en vitamines, en oligoéléments, comme le zinc ou le potassium, en pectine et en phosphore. Parfait pour décongestionner le foie, mais aussi prévenir les problèmes de sommeil.

Le cresson

C’est une plante, cultivée dans la moitié nord de la France, qui possède des vertus médicinales, notamment pour soigner la toux, et nutritionnelles. Tout comme les autres superaliments, c’est une source de vitamines, de fer, de magnésium, mais aussi de manganèse, un élément antioxydant qui lutte efficacement contre le vieillissement des cellules de notre peau.

Ajouter ce type de produits naturels dans son alimentation permet donc de prendre soin de sa santé et de son corps, mais aussi de favoriser les producteurs locaux tout en préservant notre maison commune : la Terre. Un mode de consommation plus que nécessaire face aux enjeux écologiques actuels. Vous savez désormais ce qu’il vous reste à inscrire sur votre prochaine liste de courses !

Nu avec des inconnus – La nouvelle tendance des spa en Europe

Nu avec des inconnus – La nouvelle tendance des spa en Europe

Dans le monde occidental, le concept de détente et de bien-être varie grandement d’une culture à l’autre. En Europe, notamment en Autriche et en Allemagne, les thermes sont bien plus qu’un simple lieu de relaxation ; ils représentent une tradition ancrée dans la culture locale, où se dénuder devant des étrangers n’est pas seulement toléré, mais encouragé. Plongeons dans cette immersion unique au cœur des bains thermaux européens, où la nudité devient synonyme de bien-être.

Tradition et découverte du corps

Les bains thermaux, ou thermen en allemand, sont des stations thermales où l’expérience du sauna revêt une dimension particulière. Ici, la nudité est de rigueur, offrant ainsi une expérience authentique et dépouillée. Cette tradition remonte à des siècles, ancrée dans la conviction que se débarrasser des vêtements favorise une meilleure circulation sanguine et une purification du corps et de l’esprit. Ainsi, l’acte de se dénuder devient un moyen de se reconnecter avec soi-même et avec les autres, loin des contraintes sociales et des jugements.

Le rituel du sauna et ses bienfaits

Au cœur des bains thermaux européens, le sauna est bien plus qu’une simple cabine chauffée ; c’est un rituel immersif appelé aufguss. Sous la direction d’un maître du sauna, les participants sont invités à se détendre et à se laisser emporter par les vapeurs chaudes, les parfums d’huiles essentielles et les sensations revitalisantes. Ce rituel, souvent accompagné de musique apaisante et de discussions légères, permet non seulement de purifier le corps par la sudation, mais aussi de libérer l’esprit des tensions quotidiennes.

Dépasser les barrières culturelles

Pour les visiteurs étrangers, notamment les Américains, l’idée de se dénuder devant des inconnus peut susciter une certaine appréhension. Cependant, nombreux sont ceux qui témoignent avoir rapidement surmonté ce sentiment d’inconfort pour embrasser pleinement l’expérience des bains thermaux. En effet, loin des normes culturelles rigides, se dénuder dans un environnement mixte devient un acte de libération et de confiance en soi. Cette ouverture d’esprit permet de découvrir une forme de beauté authentique, dénuée de toute superficialité.

En conclusion, les bains thermaux européens offrent bien plus qu’une simple escapade de détente ; ils représentent un véritable voyage au cœur de soi-même et des traditions locales. À travers la nudité partagée et les rituels du sauna, les visiteurs sont invités à se déconnecter du monde extérieur pour mieux se reconnecter avec leur propre essence. Ainsi, que l’on soit novice ou habitué, les thermes européens sont une expérience inoubliable, où le corps et l’esprit retrouvent harmonie et sérénité.

Les femmes ont-elles besoin de moins d’exercice que les hommes ?

Les femmes ont-elles besoin de moins d’exercice que les hommes ?

150 minutes d’activité cardio hebdomadaire : tel est le mantra consacré pour entretenir sa santé. Pourtant, à en croire une récente étude américaine, seulement 57 à 140 minutes suffiraient pour les femmes. Comment expliquer un tel écart ? Ce différentiel important dans le « dosage » d’exercice optimal résulte d’une combinaison de facteurs. Au-delà du métabolisme propre à chaque sexe, l’étude révèle, par exemple, le rôle majeur du renforcement musculaire. Ainsi, malgré une masse initiale inférieure, les progrès relatifs réalisés par les femmes sont déterminants pour réduire les risques de mortalité précoce.
En stimulant votre silhouette de manière ciblée et économique, les bénéfices santé sont immédiatement au rendez-vous.

Quand le sur-mesure rime avec longévité

Moins d’une heure et demie par semaine. C’est la cadence d’exercice idéale revue à la baisse, dont bénéficieraient spécifiquement les femmes d’après cette étude récente. De quoi remettre en question les repères génériques existants.
Ces conclusions inédites résultent de l’analyse sur 20 ans des données médicales de 400 000 Américains. Elles révèlent qu’un seuil minimal d’activité physique pourrait suffire aux femmes pour réduire de 24% leur mortalité globale et de 36% les risques cardiovasculaires.

Cœur et muscles en harmonie

Une pratique régulière d’exercices physiques réduirait de 24% la mortalité globale chez les femmes, et de 36% les risques cardiovasculaires associés. Le tout, en moins d’1h30 par semaine !
Un seuil minimal largement inférieur aux 300 minutes hebdomadaires nécessaires aux hommes pour un effet similaire. Preuve s’il en fallait que chaque sexe possède ses propres paramètres d’efficacité en matière d’exercice physique.
Ainsi, à travers une action ciblée sur le renforcement musculaire, les bénéfices sur la longévité des femmes seraient démultipliés. Une raison supplémentaire d’adopter une routine sur-mesure, alliant travail cardio et gainage pour se prémunir à moindres frais.

Au-delà des âges, cultiver sa force

Si la ménopause semble impacter la courbe des bénéfices féminins, le message général reste positif : un entretien régulier du capital musculaire demeure payant à tous les âges de la vie. Malgré une masse de départ souvent inférieure à la gente masculine, l’intensification de l’effort produit des résultats relatifs supérieurs chez les femmes.

Sur-mesure et motivation : les maîtres-mots

L’âge, les comorbidités ou encore les objectifs personnels commandent autant de paramètres à intégrer.
Ainsi, il s’agit moins de viser le minimum requis que de trouver la routine sur mesure procurant plaisir et résultats escomptés. En effet, c’est aussi la motivation intrinsèque au long cours qui garantit une pratique régulière, clé de voûte des bienfaits de l’activité physique.

Bouger : un passeport longévité sur mesure

Cette étude révèle un fait majeur : un temps réduit d’activité physique pourrait suffire aux femmes pour en récolter les fruits. Mais attention, ces statistiques ne doivent pas masquer l’essentiel : les bénéfices de l’exercice procèdent avant tout d’une démarche ultra-personnalisée.
En effet, au-delà du genre, c’est bel et bien à l’aune de ses objectifs et préférences propres que chacune peut tracer sa route vers le bien-être. Qu’il s’agisse de viser la longévité, la ligne ou la forme olympique, l’essentiel est donc de trouver la bonne cadence adaptée à sa vie.